Michaël Van Royen est venu présenter le sujet suivant à l’occasion de LUDOVIA#BE à Spa du 1er au 03 novembre dernier : le minimalisme pédagogico-numérique ou remettre le sens avant l’outil.
Loin de l’idée d’être un anti-numérique, Michaël est plutôt techno-curieux et utilise le numérique dans ses cours depuis des années et est également formateur à l’utilisation du numérique.
L’idée, c’était plutôt de revenir sur une introspection par rapport à l’utilisation que l’on peut avoir du numérique.
Dans les formations au numérique qu’il anime pour les enseignants, la question qui revient souvent est : « combien faut-il intégrer d’outils pour que ça soit cohérent et pertinent ».
Pour lui, la question qu’il faut se poser est : »est-ce qu’il faut mesurer et mettre un nombre d’outils indispensables pour que le dispositif ait du sens ou ne faut-il pas plutôt réfléchir au sens que l’on met derrière l’outil qui est utilisé « .
Il parle aussi d’une « overdose » du numérique d’après COVID qui s’est traduit pour certains collègues par un abandon total des outils numériques.
Et donc, passer par ce minimalisme et chercher le sens que l’on peut mettre derrière un usage, permet de renouer avec l’intégration du numérique dans une pratique, raisonnée.
Michaël Van Royen
Retrouvez l’intégralité du témoignage de Michaël dans l’interview ci-contre.
Plus d’infos :
Lien vers la présentation de Michaël
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