Le vendredi 2 juillet à Avignon, l’Institut National du Professorat et de l’Éducation d’Aix-Marseille (INSPÉ) et la direction territoriale Provence-Alpes-Côte d’Azur de Réseau Canopé, ont présenté une plateforme numérique autour de la Résistance et de la Déportation. Inspecteurs de l’Éducation nationale, conseillers pédagogiques, maîtres formateurs, étudiants, partenaires du projet (Fondation de la mémoire, Camp des Milles, AFMD 84, Archives départementales de Vaucluse) se sont associés à ce temps de réflexion et d’échanges de pratiques autour de la ressource.
Programme :
11H00-11H15 : Discours inauguraux
11H15-11h45 : Présentation de la plateforme
11h45-12h00 : Contribution collaborative à la plateforme et navigation accompagnée sur la plateforme
12H00 : Apéritif déjeunatoire
Une plateforme sur la Résistance et la Déportation : pour qui, pourquoi, comment ?
Cette plateforme réfléchit l’utilisation des ressources locales et propose des mises au point scientifiques, une démarche pédagogique et un ensemble de documents décryptés d’un point de vue didactique et scientifique. Elle propose également une lecture fine des enjeux de mémoire en lien avec les instructions officielles.
Cette ressource multimédia a été pensée pour permettre aux enseignants du cycle 3 d’aborder cette thématique avec des documents historiques authentiques fournis par les Archives départementales du Vaucluse.
Elle est le fruit du travail de plusieurs années entre enseignants stagiaires professeurs d’école, de collège et de lycée, formateurs académiques et associations mémorielles.
Découvrir le projet :
Un partenariat
La plateforme « Enseigner la Résistance et la Déportation avec des ressources locales » est le résultat de partenariats multiples à l’échelle du département de Vaucluse, entre l’INSPÉ Aix-Marseille Université, Réseau Canopé, les Amis de la Fondation de la Mémoire et de la Déportation de Vaucluse (AFMD 84) et les Archives départementales. Le projet initial a été enrichi des apports du groupe EMC (Enseignement moral et civique) 84. Fort de cette expérience locale, le projet, par le biais de la Fondation de la Mémoire et de la Déportation (FMD) pourrait envisager des déclinaisons en d’autres points du territoire national, selon la même logique collaborative.