Bruno Devauchelle est intervenu à LUDOVIA comme grand témoin des Rencontres Territoires & établissements numériques du XXIème siècle ; l’occasion pour l’équipe de Nipédu de l’interroger sur le thème de l’année et la problématique d’injonction, pour LUDOMAG.
L’École d’après, fondée par Elodie Maurel (voir l’interview à ce sujet), l’a interpellé car il avoue retrouver dans cette enseignante, l’enthousiasme qu’il avait dans les années 80 en souhaitant « réinventer » l’École.
« J’ai retrouvé quelqu’un surtout, qui essayait de pousser le cadre » .
Pour lui, l’expérience du Coronavirus a fait disparaître les murs de soi-même, « pour faire apparaître d’autres murs, ceux de la maison » , précise t-il.
Elodie Maurel avait basé son exposé lors du PechaKucha, sur l’historique des pédagogies actives ; pour Bruno Devauchelle, toutes les tentatives « d’inventer de nouvelles Écoles se trouvent aujourd’hui revisitées aussi parce que les moyens numériques le permettent et par le besoin d’écologie » .
« Nous sommes à un carrefour d’un ensemble d’évolutions majeures » .
Comme par exemple, la prise de conscience de l’environnement, mais aussi la prise en compte des moyens techniques développés dans l’environnement pour inventer l’école d’après.
Découvrez l’intégralité du propos de Bruno Devauchelle sur les écoles d’après dans l’interview ci-dessus.
Merci @CIRE BOX pour les dessins réalisés à LUDOVIA#17 !